Ciné avec l'asso Pierre Chaussin
L’association Pierre Chaussin (4 rue Pierre Brossolette à Sainte-Savine présente
Vendredi 21 septembre à 15 h. et 20 h. à l’Espace Cinéma le film algérien BARAKAT ! de Djamila SAHRAOUI en présence de la réalisatrice (séance de 20 h.) Prix du meilleur film arabe 206 au Festival du Caire. Entrée libre
L’un des objectifs de l’Association Pierre Chaussin est de faire découvrir des films qui n’ont malheureusement pas eu la place qu’ils méritaient face à la profusion de l’offre commerciale où la rentabilité prime bien souvent sur la qualité. Pour débuter sa programmation 2007/2008, elle se devait de présenter le très beau film, sorti en 2006 mais inédit à Troyes, de la réalisatrice Djamila SAHRAOUI qui sera présente à la séance de 20 h.
Ce film nous plonge dans l’Algérie des années 90, en proie à la guerre civile. Amel , médecin urgentiste à l’hôpital constate un soir en retournant à son domicile la disparition de son mari journaliste. Devant l’indifférence des autorités, elle décide de partir à sa recherche, accompagnée de Khadidja, infirmière énergique qui s’est illustrée dans le passé dans les combats pour l’indépendance. Au fil d’un périple périlleux, les deux femmes vont se découvrir l’une l’autre en même temps qu’elles se confronteront aux hommes de leur pays.
Après plusieurs documentaires remarqués (Algérie la vie quand même, Et les arbres poussent en Kabylie, Avoir 2000 ans dans les Aurès) dans les festivals, Djamila SARHAOUI qui vit en France depuis plus de trente ans, signe avec Barakat ! son premier long métrage de fiction.
Elle s’attaque à la violence qui a secoué l’Algérie durant les années 90 et qui fait écho à celle de la guerre d’Algérie. Elle s’attache avec beaucoup de sensibilité, d’humanité et de poésie à faire le portrait de deux femmes remarquablement interprétées par Rachida Brakni et Fettouma Bouamari.
Le film montre la pression quotidienne qui pèse sur les femmes. Pour la réalisatrice, la violence de la guerre civile est liée à la violence des rapports sociaux et à la violence que la société exerce sur les femmes. Son film est un réquisitoire implacable contre toutes ces formes d’oppression mais d’où surgissent, lumineuses, comme un message d’espoir, les deux figures, celles du vieil homme et du petit garçon.
Contact
http://chaussin.pierre.free.fr
assopierrechaussin@sainte-savine.fr
Tél. : 0325741176
Vendredi 21 septembre à 15 h. et 20 h. à l’Espace Cinéma le film algérien BARAKAT ! de Djamila SAHRAOUI en présence de la réalisatrice (séance de 20 h.) Prix du meilleur film arabe 206 au Festival du Caire. Entrée libreL’un des objectifs de l’Association Pierre Chaussin est de faire découvrir des films qui n’ont malheureusement pas eu la place qu’ils méritaient face à la profusion de l’offre commerciale où la rentabilité prime bien souvent sur la qualité. Pour débuter sa programmation 2007/2008, elle se devait de présenter le très beau film, sorti en 2006 mais inédit à Troyes, de la réalisatrice Djamila SAHRAOUI qui sera présente à la séance de 20 h.
Ce film nous plonge dans l’Algérie des années 90, en proie à la guerre civile. Amel , médecin urgentiste à l’hôpital constate un soir en retournant à son domicile la disparition de son mari journaliste. Devant l’indifférence des autorités, elle décide de partir à sa recherche, accompagnée de Khadidja, infirmière énergique qui s’est illustrée dans le passé dans les combats pour l’indépendance. Au fil d’un périple périlleux, les deux femmes vont se découvrir l’une l’autre en même temps qu’elles se confronteront aux hommes de leur pays.
Après plusieurs documentaires remarqués (Algérie la vie quand même, Et les arbres poussent en Kabylie, Avoir 2000 ans dans les Aurès) dans les festivals, Djamila SARHAOUI qui vit en France depuis plus de trente ans, signe avec Barakat ! son premier long métrage de fiction.
Elle s’attaque à la violence qui a secoué l’Algérie durant les années 90 et qui fait écho à celle de la guerre d’Algérie. Elle s’attache avec beaucoup de sensibilité, d’humanité et de poésie à faire le portrait de deux femmes remarquablement interprétées par Rachida Brakni et Fettouma Bouamari.
Le film montre la pression quotidienne qui pèse sur les femmes. Pour la réalisatrice, la violence de la guerre civile est liée à la violence des rapports sociaux et à la violence que la société exerce sur les femmes. Son film est un réquisitoire implacable contre toutes ces formes d’oppression mais d’où surgissent, lumineuses, comme un message d’espoir, les deux figures, celles du vieil homme et du petit garçon.
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Tél. : 0325741176